Après mes participations à quelques blogs amis, aux sites Kinok, Interlignage et Causeur, la très aimable contribution d’Olivier Rossignot va me permettre d’évoquer ma toute récente collaboration avec le site Culturopoing dont il est le rédacteur en chef. Ce n’est pas par l’univers du blog que j’ai rencontré Olivier mais par Facebook et après quelques premiers essais, il m’a fait une entière confiance et j’ai été accueilli comme un prince. Je n’ai pas encore écrit beaucoup de textes pour le site mais j’ai déjà pu placer quelques critiques sur de bonnes séries Z éditées par Artus, Le chat qui fume et sur des livres, domaine que j’aimerais explorer de façon plus approfondie. De biens agréables débuts, donc, en espérant que cette aventure se prolongera un certain temps…

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Parler de Monsieur Orlof, ce sera pour moi, le fantasmer, vu que je ne le connais pas encore assez pour évoquer des milliers d’anecdotes, de conversations à bâtons rompus ou de soirées cinéphages. Mais finalement en matière de cinéma peut-il y avoir quelque chose de plus significatif que le fantasme ? Sa participation à Culturopoing est encore toute récente, mais il fait partie de ceux qui écrivent sur le cinéma qui ont l’air d’y mettre beaucoup d’eux-mêmes sans se gausser des mots, qui analysent avec pertinence sans mettre en avant leur ego, et qui font les ponts entre genres et sous genres, le patrimoine et le bis, entre un cinéma dit légitime et un autre qu’on se plait à montrer du doigt en riant. Son écriture trahit la constante curiosité et l’éternelle ouverture. Cela fait un peu « lettre de recommandation », mais je n’ai pas trouvé mieux. Avant même de lire les mots de Vincent, je sais que je n’aurais rien à corriger, qu’il peut publier, car nous sommes sur la même longueur d’onde ; j’espère notre collaboration la plus longue possible. Mais je pense qu’avec quelqu’un qui d’un côté poste sur Godard et de l’autre nous offre en guise de première collaboration (sans mauvais jeu de mots) « Horreurs Nazies » de Sergio Garrone les espoirs les plus fous sont permis. On peut compter sur lui. Vive le grand écart ! Brandissons le refus des portes fermées comme un étendard. Vincent est suffisamment peu recommandable pour être totalement indispensable.

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