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Merci Joachim : j'ai soudain réalisé que c'était extrêmement facile d'insérer une vidéo ! Il va falloir maintenant résister à la tentation de ne pas en mettre une à chaque note.<br />
Pour ces Notes sur le cirque, je suis d'accord avec ton ressenti. Mais ce que je trouve encore plus sublime dans cette séquence (qui dure en fait une dizaine de minutes), c'est qu'au-delà<br />
du risque, du mouvement et de tout ce rythme; j'y vois également une foultitude de réminiscences (qui est, au fond, le grand sujet de ce grand film nostalgique qu'est Walden) et la forme<br />
composite de Mekas permet à merveille de traduire un sentiment d'éphémère qui nous renvoie directement à l'enfance dans ce passage...<br />
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Ah oui ! (D'autant plus que je n'ai jamais vu Walden...) Moi non plus, je ne m'en lasse pas. Et j'y vois à la fois la grandeur et le dérisoire du cirque, le plus grand et le plus petit châpiteau du<br />
monde. J'y ressens vraiment ce qui n'est que dit dans le dernier Rivette (et à mon avis, pas du tout ressenti dans ce film déprimé) : le plus petit mais le plus aventureux et dangereux des espaces<br />
(enfin, c'est quelque chose comme ça, je n'ai plus la citation exacte)... (Et je salue par ailleurs, l'arrivée de la vidéo sur ce blog).<br />
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