Toujours quelques perturbations dans le bon fonctionnement du blog (activités annexes, retard dans mes chroniques DVD, soleil persistant qui me pousse loin de mon ordinateur…). Je devrais néanmoins, si tout se passe bien, vous parler prochainement de Romero et peut-être du film d’animation israélien. En attendant, revenons aux meilleurs films de 2001 (il s’agit de justifier notre deuxième place conservée au wikio blogs)

 

Mon palmarès à l’époque :

 

1er                    Mulholland drive (David Lynch)

2ème                  Va savoir (Jacques Rivette)

3ème                  The barber (Ethan et Joël Coen)

4ème                  Les démons à ma porte (Jiang Wen)

5ème                  De l’eau tiède sous un pont rouge (Shohei Imamura)

6ème                  Le pornographe (Bertrand Bonello)

7ème                  Kaïro (Kurosawa)

8ème                  Le sortilège du scorpion de jade (Woody Allen)

9ème                  Sous le sable (François Ozon)

10ème                Loin (André Téchiné)

 

Avec un peu de recul, mon classement aujourd’hui serait

 

1er                    Mulholland drive (David Lynch)

2ème                  Va savoir (Jacques Rivette)

3ème                  De l’eau tiède sous un pont rouge (Imamura)

4ème                  L’anglaise et le duc (Eric Rohmer)

5ème                  The barber (E et J Coen)

6ème                  Mes voisins les Yamada (I.Takahata)

7ème                  Kaïro (Kurosawa)

8ème                  Les démons à ma porte (Jiang Wen)

9ème                  Sauvage innocence (Philippe Garrel)

10ème                La chambre du fils (Nanni Moretti)

 

 

2001, c’est avant tout l’année de Mulholland drive. Lorsque sort un film comme celui-ci, inutile de dire que le millésime cinématographique sera forcément bon ! Ce n’est d’ailleurs pas faux car l’on pourra constater que j’ai effectué pas mal de changements en 7 ans alors que j’aime quand même beaucoup les films que j’ai fait sortir (un bémol pour le Ozon que je n’ai pas revu depuis sa sortie et qui pourrait être revu à la baisse dans la mesure où ce cinéaste a maintenant tendance à m’agacer)

 

Sinon, 2001 fut aussi l’année de sortie de : Samia (Faucon) ; Selon Mathieu (Beauvois) ; La ville est tranquille (Guédiguian) ; A ma sœur (Catherine Breillat) ; Mercredi, folle journée (Pascal Thomas) ; Intimité (Chéreau) ; Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (Jeunet) ; Eloge de l’amour (Godard) ; Roberto Zucco (Kahn); Liberté Oléron (Podalydès) ; Trouble every days (Denis) ; La planète des singes (Burton) ; La pianiste ; (Haneke) ; Je rentre à la maison (de Oliveira) ; Platform (Jia Zhang-Ke) ; H Story (Suwa); Sobibor (Lanzmann) ; Et là-bas, quelle heure est-il ? (Tsai Ming-Liang) ; Millenium mambo (Hou Hsiao-Hsien) ; L’emploi du temps (Cantet) ; Ghosts of mars (Carpenter) ; Ce vieux rêve qui bouge (Guiraudie) ; Bully (Clark), Christmas (Ferrara), le cercle (Panahi), La comédie de l’innocence (Ruiz), Carrément à l’ouest (Doillon); Time and tide (Tsui Hark)… 

 

A vous de jouer…

 


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