Zarah
Ca faisait un certain temps que je n'avais pas alimenté ma rubrique "icône" alors débutons de fort jolie manière en vous offrant quelques images d'une Zarah qui n'a strictement rien à voir avec une célèbre star du X batave du milieu des années 90.
Quand Marlène Dietrich eut le bon goût de s'exiler aux Etats-Unis, le ministre de la propagande de l'époque, Joseph Goebbels, décida qu'il fallait au cinéma allemand une nouvelle égérie. Ce fut la suédoise Zarah Leander qui triompha sur les écrans bien qu'elle refusa toujours d'adhérer au parti nazi.
C'est sous la direction d'un certain Detlef Sierck (qui deviendra Douglas Sirk à Hollywood) qu'elle trouva ses plus beaux rôles...
Quand Marlène Dietrich eut le bon goût de s'exiler aux Etats-Unis, le ministre de la propagande de l'époque, Joseph Goebbels, décida qu'il fallait au cinéma allemand une nouvelle égérie. Ce fut la suédoise Zarah Leander qui triompha sur les écrans bien qu'elle refusa toujours d'adhérer au parti nazi.
C'est sous la direction d'un certain Detlef Sierck (qui deviendra Douglas Sirk à Hollywood) qu'elle trouva ses plus beaux rôles...
Zarah Leander dans La habanera (1937) et Paramatta, bagne de femmes (1937) de Douglas Sirk
Editions Carlotta
Editions Carlotta