Me voilà de nouveau occupé et les quelques films que je peux voir en ce moment ne donneront pas lieu à des critiques ici. Du coup, poursuivons notre grande rétrospective des meilleurs films des années 90 et arrivons à la grande année 95.

 

Le 1er Janvier 1996, mon classement était le suivant :

 

1er                          La cérémonie (Claude Chabrol)

2ème                       Vive l’amour (Tsai Ming-Liang)

3ème                  Underground (Emir Kusturica)

4ème                  Ed Wood (Tim Burton)

5ème                  Chungking express (Wong Kar-Waï)

6ème                  Les rendez-vous de Paris (Eric Rohmer)

7ème                  Coups de feu sur Broadway (Woody Allen)

8ème                  Oublie-moi (Noémie Lvovsky)

9ème                  La fleur de mon secret (Pedro Almodovar)

10ème                Haut bas fragile (Jacques Rivette)

 

 

A l’heure actuelle, et pour la même année, mon classement serait le suivant :

 

1er                    La cérémonie (Claude Chabrol)

2ème                  Chungking express (Wong Kar-Waï) 

3ème                  Vive l’amour (Tsai Ming-Liang)

4ème                  Ed Wood (Tim Burton)

5ème                  Underground (Emir Kusturica)

6ème                  Les rendez-vous de Paris (Eric Rohmer)

7ème                  The kingdom (Lars von Trier)

8ème                  JLG/JLG : Autoportrait de décembre (Jean-Luc Godard)

9ème                  Haut bas fragile (Jacques Rivette)

10ème                La fleur de mon secret (Pedro Almodovar)

 

Excellent cru que cette année 2005 qui fut pour moi l’année de ma grande découverte du cinéma asiatique contemporain et de trois auteurs que je continue à chérir, vous avez du vous en rendre compte ! , aujourd’hui : Wong Kar-Waï, Tsai Ming-Liang et Kitano (Sonatine est sorti cette année dans les salles).

Je tenais aussi absolument à faire figurer dans les dix premiers The kingdom de Lars von Trier, une des seules séries télé que j’ai eu le courage de regarder dans ma vie (avec Dream on) et JLG/JLG que j’avais vu en salle à sa sortie mais qui m’a beaucoup plus marqué lorsque je l’ai revu à la télé. Cet autoportrait fait partie de ces films qui gagnent à être vu en tête à tête chez soi et dont le côté « intime » perd presque de son sortilège sur grand écran.

Mais ce fut dur de se débarrasser des films de Woody Allen et Noémie Lvovsky que j’aime toujours beaucoup, comme d’ailleurs les titres pourtant écartés que je vais souligner dans le traditionnel petit aperçu  des films sortis en 1995 :

 

Little Odessa (James Gray), Le péril jeune (Klapisch), L’antre de la folie (Carpenter), Au travers des oliviers (Kiarostami), Les cent et une nuits (Varda), Gazon maudit (Balasko), L’appât (Tavernier), Prêt-à-porter (Altman), L’émigré (Chahine), A la campagne… (Poirier), Sonatine (Kitano), Wes Craven new nightmare (Wes Craven), The killer (John Woo), La haine (Kassovitz), Waati (Cissé), Clean shaven (Kerrigan), Etat des lieux (Richet), Le couvent (Manoel de Oliveira), Bye-bye (Karim Dridi), Le regard d’Ulysse (Angelopoulos), Sur la route de Madison (Eastwood), Land and freedom (Ken Loach), Nelly et monsieur Arnaud (Sautet), Le garçu (Pialat), Prête à tout (Gus van Sant), The doom generation (Araki), La fille seule (Jacquot)…

 

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