Bilan 2024
/image%2F1489047%2F20250104%2Fob_35895a_la-bete.jpg)
Après quelques années creuses, j'ai retrouvé un rythme de croisière satisfaisant quant aux découvertes en salles, notamment grâce au formidable festival de Gindou qui m'a permis de découvrir tous les titres phares ou presque du dernier trimestre de 2024.
L'année m'a semblé de bonne tenue puisque même en poussant jusqu'à quinze titres, je n'arrive pas à faire entrer des films que j'aime pourtant beaucoup (L'Empire, La Mère de tous les mensonges...).
Voici donc mon palmarès :
1- La Bête (Bertrand Bonello)
2- Miséricorde (Alain Guiraudie)
3- All We Imagine as Light (Payal Kepadia)
4- La Petite Vadrouille (Bruno Podalydès)
5- The Zone of Interest (Jonathan Glazer)
6- Septembre sans attendre (Jonas Trueba)
7- Averroès et Rosa Parks (Nicolas Philibert)
8- Grand Tour (Miguel Gomes)
9- Juré n°2 (Clint Eastwood)
10-Walk up (Hong Sang-Soo)
Puis viennent
11- Un pincement au cœur (Guillaume Brac)
12- Chime (Kiyoshi Kurosawa)
13- Au cœur des volcans (Werner Herzog)
14- Maxxxine (Ti West)
15- Vingt dieux (Louise Courvoisier)
***

Et l'âge venant, je me rends néanmoins compte que je m'intéresse beaucoup plus au cinéma du 20ème siècle qu'aux dernières tendances. Alors voici mon désormais traditionnel top 50 des plus belles découvertes (chefs-d’œuvre incontournables ou pépites méconnues) de 2024 (par ordre chronologique)
1919 – Blind Husbands (Erich Von Stroheim)
1923- Merry-Go-Round (Erich Von Stroheim)
1923- Zaza (Allan Dwan)
1924- Manhandled (Allan Dwan)
1926- La Chair et le diable (Clarence Brown)
1927- Napoléon (Abel Gance)
1928- A Woman of Affairs (Clarence Brown)
1928- La Symphonie nuptiale (Erich Von Stroheim)
1928- Sadie Thompson (Raoul Walsh)
1932- Où sont les rêves de jeunesse (Yasujiro Ozu)
1933- Une femme de Tokyo (Yasujiro Ozu)
/image%2F1489047%2F20250104%2Fob_6d64c8_all-we-imagine.jpg)
1934- Angèle (Marcel Pagnol)
1936- Fury (Fritz Lang)
1938- Les Anges aux figures sales (Michael Curtiz)
1945- Détour (Edgar Ulmer)
1946- A Scandal in Paris (Douglas Sirk)
1951- Elle n'a dansé qu'un seul été (Arne Mattsson)
1952- L' Énigme du Chicago-Express (Richard Fleischer)
1952- Le démon s'éveille la nuit (Fritz Lang)
1954- Sur les quais (Elia Kazan)
1960- L'Homme à la peau de serpent (Sidney Lumet)
1962- Lawrence d'Arabie (David Lean)
1962- Le Jour du vin et des roses (Blake Edwards)
1962- Lulu (Rolf Thiele)
1965- Le Saint (Satyajit Ray)
1965- La Colline des hommes perdus (Sidney Lumet)
1965- Des filles pour l'armée (Valerio Zurlini)
1966- Raspoutine, le moine fou (Don Sharp)
1967- La Comtesse de Hong-Kong (Charlie Chaplin)
1968- The Swimmer (Frank Perry)
1968- La Rosière de Pessac (Jean Eustache)
/image%2F1489047%2F20250104%2Fob_f6f2e0_zone-of-interest.jpg)
1971- Le Lien (Ingmar Bergman)
1972- Barbe-bleue (Edward Dmytryk)
1972- Salomé (Carmelo Bene)
1973- White Lightning (Joseph Sargent)
1974- Un vrai crime d'amour (Luigi Comencini)
1975- Jeanne Dielman, 23 rue du commerce, 1080 Bruxelles (Chantal Akerman)
1975- Mandingo (Richard Fleischer)
1975- La Traque (Serge Leroy)
1977- La Communion solennelle (René Féret)
1978- Le Député (Eloy de la Iglesia)
1979- Félicité (Christine Pascal)
1980- Un homme à genoux (Damiano Damiani)
1980- De la vie des marionnettes (Ingmar Bergman)
1992- Simple Men (Hal Hartley)
1993- Totally Fucked up (Gregg Araki)
1997- Kasaba (Nuri Bilge Ceylan)
2011- Guilty of Romance (Sono Sion)
2022- Pacifiction (Albert Serra)
2022- Pearl (Ti West)
Mes meilleurs vœux aux rares lecteurs qui désertent les espaces de plus en plus viciés des réseaux sociaux pour venir s'égarer sur ce blog déserté...